Au 14 août 2020, la presse fait des articles alarmistes concernant parfois une reprise de l'épidémie, parfois une "seconde vague", ...
Il faut bien comprendre qu'il existe encore de nouvelles infections. Mais, les cas graves restent en petit nombre. L'accroissement des nouveaux infectés provient principalement de l'accroissement du nombre des tests. Par ailleurs, la fiabilité de ces tests et, d'après des nouvelles hors de France, très faible. On parle de 30% de faux positifs, ce qui est extrêmement élevé.
Le site britannique Lockdownceptics.org diffuse ce graphe produit par l'office britannique des statistiques :
On voit que le taux d'infections rapportés à la population totale et très faible pour la France : 18 cas pour 100.000 habitants. Notre pays est en réalité très peu affecté par l'épidémie.
Une question importante commence à faire surface : avec des taux d'infection aussi faibles et avec une mortalité pas beaucoup plus élevée que celle d'une grippe un peu forte, pourquoi le gouvernement a t'il pris des mesures exorbitantes du droit des gens et aussi dangereuses pour le sort de l'économie et de l'emploi ?
Au sujet de la mortalité, il se pose deux questions importantes :
- dans les maisons de retraite, pourquoi autant de personnes âgées ont été laissées sans soin, malgré les efforts déployés par les organisations sanitaires et politiques ;
- en réanimation hospitalière, pourquoi la mortalité a t 'elle été aussi élevée, notamment lors des cinq premières semaines ?
Pour le reste, nous ne voyons pas les justifications a posteriori du confinement quasi général, accompagné de la fermeture très large des commerces et entreprises de services.
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