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L'interaction science et politique devient toxique

La crise sociale produite par les mesures décidées par les gouvernements pour répliquer à l'épidémie de SARS-CoV-2 est d'abord une crise qui touche le personnel scientifique et politique quand il s'est mélangé au point de rendre incapable le scientifique de vérifier les assertions scientifiques et le citoyen de sanctionner les décisions politiques.

Nous sommes avertis que les mesures prises par les gouvernements sont des mesures préconisées par "la Science" de sorte que nous avons l'interdiction de les contester politiquement puisqu'elles sont "scientifiques" et l'interdiction de les contester scientifiquement parce qu'elles sont politiques. 

De fait, de plus en plus de citoyens - dont plusieurs parmi des politiciens et parmi des scientifiques, qui, les uns et les autres, n'ont pas été impliqués dans le processus de décision, ont publiées des opinions critiques - commencent à s'insurger contre les mesures prises par les politiques. De plus en plus de scientifiques, exclus du débat, commencent à écrire contre les erreurs scientifiques qui ont été imposées aux politiciens.

 Le confinement coince

La première mesure anti-épidémique prise par les politiciens au pouvoir est celle du confinement. Cette décision a été prise en Chine, en Italie, en Espagne, en France, en Allemagne, en Grande-Bretagne et aux USA. Elle est contestée :

  • scientifiquement parce qu'elle ne serait absolument pas efficace et même, selon certains, serait la cause d'un nombre important d'infections et de décès ; et 
  • politiquement parce qu'elle a constitué une privation des libertés - tant publique que individuelle - en violation tant des constitutions, des chartes internationales que des lois en vigueur qui se sont trouvées suspendues ou peut être même abrogées, on l'ignore encore.

Aujourd'hui, la défense "scientifique" du confinement est assurée par le triste Ferguson, scientifique bizarrement autorisé, et qui a fait savoir les gains en vies humaines obtenus par le confinement qu'il avait "préconisé" en avertissant les politiciens qu'il n'y avait pas d'autre solution "scientifique". Lui et les gouvernements, sûrement inquiets des réactions explosives possibles de la population, ont "communiqués" - très mal - en affirmant que ce gain était égal à la différence entre le nombre de décès calculé par simulation au début de l'épidémie, et le nombre de décès attribués par l’État à l'effet de l'épidémie. L'argument est complètement faux scientifiquement et il est en soi contestable parce que la modélisation épidémique était évidemment fausse - tous les scientifiques le savaient dès l'origine - et parce que les statistiques des décès comptabilisés par l’État sont fausses.

Sur le sujet de la privation des libertés, l'argument est avancé par plusieurs articles d'opinion. Avec ce genre d'article, on doute toujours de sa force dans l'opinion publique, travaillée par les média aux ordres. Mais le sujet de la privation des libertés est aussi débattu par des actions en justice - en France, on se réfère aux actions d'associations et d'avocats comme Maître Di Vizio (lire son blog professionnel : http://www.cabinetdivizio.com/blog/) dont l'avenir est des plus incertain. On sait que plusieurs associations ont déposé des plaintes ou des recours en justice notamment en France.

Il est triste de constater que, sauf erreur d'évaluation, les Français ne manifestent pas de manière démocratique par la manifestation légale sur la voie publique comme les Américains, comme les Britanniques ou comme les Allemands contre cette mesure. Il semble qu'ils réagissent par un comportement anti-social qui consiste à violenter tout ce qui leur parait représenter l'"ordre" républicain que ce soit un policier ou un gendarme, un conducteur d'autobus ou un quidam qui réclame l'observance d'une règle anti-épidémique imposée par l’État.  

Mais l'affaire du confinement laissera des traces durables dans la mémoire, parce qu'il a été imposé à la population pour une seule raison : protéger les hôpitaux en retardant le flux de malades infectés au SARS-CoV-2. C'était la négation même de la mission de l'hôpital.

L'affaire des masques coince

Elle coince pour au moins deux raisons :

  • l’État, parce qu'il avait détruit les stocks stratégiques il y a déjà quelques années et parce qu'il n'avait prévu aucune commande de masques, alors même que l'épidémie sévissait en Asie, a fait dire par ses scientifiques, dont l'indépendance aurait été "miraculeuse", que les masques "ne servaient à rien" et en même temps, qu'il fallait les réserver au "personnel soignant" ;
  • le port du masque semble à beaucoup de Français une mesure vexatoire et sans intérêt sanitaire.

La question - contrairement à ce que croient les "scientifiques" qui prétendent avec l’État le conseiller - n'est pas de trouver la "pédagogie adaptée" pour faire accepter cette mesure de protection. Le problème, c'est que les Français commencent à s'exaspérer d'un État qui se mêle de tout et de rien. Il suffisait que l'Administration laissa le soin à la médecine libérale de prescrire le port du masque, et ce dernier diffusait sans violence dans la population.

Il faut reconnaître qu'un masque "professionnel" - et indisponible - qui filtre des particules de plus de 100 Microns, quand les virions du SARS-Cov-2 font moins de 10 microns paraît bien dérisoire. Quand on pense que 50% des masques sont réalisés par les gens eux-mêmes, au mieux avec deux couches de tissu ... il y a de quoi s'exaspérer d'une remontrance par qui que ce soit et par l'imposition d'une amende de 135 euros ...

Là dessus, pour préconiser des solutions anti-épidémiques, l’État aurait dû être sans faille. Dans la seule affaire des masques, l’État est fautif depuis des années. Il a perdu toute légitimité à imposer des règles. Seule, l'énergie de la police permet encore à notre Haute Fonction publique de croire qu'elle peut décider n'importe quoi dans l'espoir d'apprendre la soumission aux gens.

L'affaire de l'hydroxychloroquine et du remsidivir coince

J'ai traité dans plusieurs articles du problème de l'hydroxychloroquine. J'y renvoie mon lecteur.

Cependant, il faut bien comprendre que les médecins - du moins ceux qui soignent - savent qu'il existe des médicaments contre les affections respiratoires, qu'elles soient virales, bactériennes ou autre. Malheureusement, pour des raisons difficiles - que j'ai tenté d'exposer dans les articles précités - l’État a accepté le mensonge des épidémiologistes de son Conseil, à savoir que la Covid-19 étant une maladie nouvelle, par définition d'une maladie nouvelle, n'avait aucun médicament. Cette "raison" fausse a permis aux épidémiologistes du Conseil du gouvernement de lui faire croire que seules des mesures non pharmaceutiques - les NPIs de Ferguson - pouvaient venir à bout de la Covid-19 en attendant le vaccin qu'"évidemment", on trouverait de 6 à 18 mois plus tard.

Là aussi, l'idée d'un vaccin est parfaitement hasardeuse. Le SIDA est apparu il y a presque cinquante ans. Il n'a toujours aucun vaccin, de même que Ebola et tant d'autres infections. Mais le problème du vaccin est un peu différent. J'y reviendrai peut être.

L'affaire de l'hydroxychloroquine est absolument invraisemblable. Cet anti-paludéen, qui avait pris la suite de la quinine, puis de la chloroquine, est l'un des médicaments les mieux connus au monde, peut être dans les moins toxiques, sauf à dépasser les doses calculées. Un médicament qui, une fois prescrit par un médecin - avec de bonnes raisons - peut être pris pendant plusieurs mois sans problème sous le seul contrôle du patient. Les effets secondaires sont rares et le plus souvent s'arrêtent avec l'arrêt de la prise du médicament.

En janvier 2020, les fonctionnaires de la Santé Publique ont fait prendre un arrêté classant l'hydroxychloroquine au tableau des substances vénéneuses, où il rejoignait la quinine et la chloroquine qui y avait déjà été inscrite sur l'ordre du "fameux" Bernard Kouchner, connu comme époux d'une speakerine de la télé et accessoirement comme Ministre de la Santé du calamiteux Mitterrand.

A peine l'état d'épidémie reconnue en France, les fonctionnaires de la Santé Publique se ruaient chez leur ministre pour faire interdire l'usage de la chloroquine hors de l'hôpital où ils savaient qu'ils avaient le pouvoir d'empêcher sa distribution.

Or, l'hydroxychloroquine était alors le médicament le plus prescrit contre ... la Covid-19 dans le monde entier et en France aussi. Les fonctionnaires de la Santé Publique vont alors se livrer à un incroyable travail de destruction de la réputation du médicament, alors même que le numéro un de l'infectiologie en France, le Pr Didier Raoult, démontrait que l'hydroxychloroquine, prise en association avec un antibiotique, l'azithromycine, avait à la fois une fonction d'inhibition du virion respiratoire, réduisant la charge virale de la personne infectée, et une fonction immuno-modulatrice, permettant de réduire la montée des cytokines de réponse immunitaire, montée préjudiciable à l'organisme.

Prétextant que aucun essai clinique "normalisé" de l'hydroxychloroquine n'avait été conduit dans le cadre de la Covid-19, Raoult et son équipe de l'IHM de Marseille ont été vilipendés par la presse et par les fonctionnaires de la Santé publique. 

Or, ils ont obtenu d'excellents résultats : moins de 3% de mortalité quand les hôpitaux qui n'utilisaient pas l'hydroxychloroquine, dépassaient les 40% de mortalité. Les preuves de l'efficacité de l'hydroxychloroquine vont s'accumuler. En France, on peut citer les succès du Pr Perrone à Garches.

Plus encore, la Suisse a pris un arrêté d'interdiction de l'hydroxychloroquine. Quinze jours après la date de l'arrêté, la mortalité Covid-19 bondit de 30%. Comprenant un peu tard que l'arrêté est meurtrier, la Suisse réautorise l'hydroxychloroquine. Quinze jours plus tard, la mortalité s'effondre de 30% et la décrue épidémique reprend son cours.

Le scandale est double :

  • le premier scandale vient de ce que un médicament que tous les médecins savaient efficace dans ce genre d'affections et même contre les infections à Coronavirus - travaux du Pr Savinio de 2003 ! - a été interdit dans le monde "libre" ;
  • le second scandale tient à ce que, alors que pendant la première partie de l'épidémie, si l'hydroxychloroquine était permis à l'hôpital, il était interdit à la prescription des médecins libéraux.

Le premier scandale en cache un autre : en réalité, les firmes pharmaceutiques ont salarié les fonctionnaires de la Santé publique pour privilégier le développement d'autres médicaments très coûteux - comme le remdesivir - alors que la chloroquine est très peu coûteuse. Des essais cliniques - comme l'essai Mehra, mais beaucoup d'autres comme Discovery ou Recovery - ont été fabriqués pour affirmer mensongèrement l'inefficacité ou même la dangerosité de l'hydroxychloroquine.

Le second scandale en cache un autre : celui de l'anéantissement de l'indépendance de la médecine, et même de la médecine libérale, qui s'est vue exclure de la lutte anti-épidémique et retirer toute liberté de prescription sans laquelle il n'y a plus de médecine.

L'affaire des EHPAD coince

Tout au début de l'épidémie, l’État français a décidé de "protéger nos vieux" - merci pour eux - en les isolant de "tout" contact. Toujours pour "protéger" le système hospitalier - objectif absolument scandaleux - il a été décidé secrètement - mais, nous disposons de témoignages comme celui du Pr Douste-Blazy - que les vieillards infectés ne devaient en aucun cas rejoindre l'hôpital, mais devaient rester dans leur maison de retraite et attendre la mort sous anesthésiant (le rivotril imposé par les autorités sanitaires aux maisons de retraite dès le début de l'épidémie). Cette assertion a été vigoureusement démentie par les autorités sanitaires. Mais, leur démenti est contredit par leurs propres statistiques hospitalières !

En réalité, les personnes âgées sont mortes de dépression dans la solitude. Et celles qui sont mortes de la Covid-19 avaient été infectées par le personnel de la maison de retraite. C'est la chose qui est arrivée partout où des populations ont été confinées. Elles se sont contaminées dans la solitude.

Les politiciens et les fonctionnaires de la Santé sont responsables de la fin de vie dramatique de beaucoup de gens et ici des personnes âgées. Leurs proches se souviendront-ils des responsables de leurs morts ?

L'affaire des respirateurs artificiels coince

Au début de l'épidémie, la population a été prévenue que le symptôme le plus grave de la Covid-19 était une gêne respiratoire. Nous savions que l'issue fatale de la maladie était l'asphyxie. Cette "connaissance" a été la cause que plus personne n'a voulu "aller à l'hôpital", que ce soit en urgence, ou en soin standard, dans le public aussi bien que dans le privé. Bizarrement, il n'y avait plus aucun AVC ou accident cardiaque. Les cancéreux ou les diabétiques ne venaient plus suivre leurs traitements pourtant essentiels pour leur survie.

Très vite, "on" nous a appris que le système sanitaire français allait être saturé de malades en détresse respiratoire. Or, l'instrument pour traiter la détresse respiratoire s'appelle un "respirateur artificiel". A cause de la désertification industrielle de notre pays lentement organisée par le pouvoir depuis cinquante ans, nous n'avions plus qu'un seul fabricant de respirateurs artificiels. Les chinois, notre unique source d'approvisionnement, ne parvenaient pas à fournir les commandes du monde entier.

Le premier scandale dans cette affaire est un scandale sanitaire. Si l’État français n'avait pas de masques, ni de quelque équipement de protection anti-infectieux que ce soit pour sa population, il n'en avait pas plus pour son personnel médical et les médecins et auxiliaires médicaux, pas davantage. L’État français n'avait ni assez de lits d'urgence, ni de respirateurs pour tout le monde.

Il a donc organisé le système de tri de malades à l'entrée des urgences de sorte que seuls les malades agréés par les urgences y parvenaient. De la sorte, l’État français a évité "tout encombrement" des urgences ... mais d'une manière honteuse.

Pour dissimuler l'horreur de la situation, il a fait diffuser par la presse aux ordres de honteuses mises en scène d'infirmières surmenées au bord des larmes et d'encore plus honteuses mises en scène d'imbéciles applaudissant depuis leurs balcons à 20:00 pour passer au "JT".

Augmentant encore l'ignominie de ses actes, l’État français a ensuite mis en scène l'organisation d'urgence de la fabrication de respirateurs artificiels qu'on attendait en tremblant. Un constructeur et un équipementier se sont prêtés à cette mascarade sous le contrôle du dernier fabricant français dépassé.  On a donc été abreuvé de messages de presse montrant de braves techniciens en automobile, prenant sur leur précieux temps - ils étaient au chômage contraint - pour fabriquer "vite fait, bien fait" un respirateur qu'un malade attendait à bout de souffle. La honte intégrale sur un océan de sentiments dégoulinants.

Il y a eu deux coups durs :

  • le premier coup dur, c'est qu'on - enfin les médecins compétents, y compris aux urgences - savait que la détresse respiratoire ne provenait pas d'une cause qui pouvait être traitée par un respirateur artificiel. Il s'agissait la plupart du temps d'une thrombose pulmonaire, qui affecte les vaisseaux sanguins qui irriguent les poumons, donc en aval du système respiratoire assisté par le respirateur artificiel inutile. On a donc brulé les poumons des malades avec un forçage en oxygène inutilisable par le système sanguin, de sorte que non seulement les patients sont morts de thrombose pulmonaire qui n'a pas été soignée alors qu'on sait la soigner, mais affreusement torturés par l'intubation et par le fonctionnement d'une machine qui ne les soulageait en rien. Certains en ont réchappé qui soutiennent mordicus qu'ils ont été sauvé par la médecine ...
  • le second coup dur est arrivé quelques mois plus tard. "On" a été contraint d'annoncer que les respirateurs qui avaient été péniblement fabriqués ne servaient à rien. Ils étaient juste capables de traiter un patient pendant une heure. Et encore si la détresse respiratoire n'était pas trop forte. Ils ont été abandonnés malgré un budget pharaonique dépensé sur la "comm'" à leur sujet.

Il existe très peu d'informations publiques en France sur la question de la thrombose pulmonaire. Seul, le Pr Raoult en a dit un mot. Par contre, il existe dès le mois de Février, plusieurs communications médicales en Italie qui alertaient le monde de cette thrombose et de l'inutilité du respirateur artificiel.

Mais en France, on ne lit pas ce qui vient d'un pays "secondaire" ... On est au-dessus de çà ...

C'est tout ?

En fait, de nombreuses autres affaires, évoquées parfois dans notre analyse, sont en train de se développer. La plus grave de toutes concerne les malades laissés sans soin par la mise en indisponibilité du système sanitaire à l'échelle du monde occidental. Il est certain qu'une mortalité particulière va se développer par exemple sur la base des traitements interrompus, des dépistages non réalisés, des vaccinations non assurées, etc. Il y a bien entendu beaucoup à discuter sur ces sujets.

Particulièrement, le motif essentiel des gouvernements occidentaux de protéger leur système sanitaire du choc de l'épidémie est la cause essentielle de cette autre affaire. 

Une autre affaire encore plus explosive concerne l'arrêt du processus économique tel que de nombreux opérateurs sont contraints de cesser toute activité. C'est le cas de beaucoup de firmes du transport aérien, de la construction aéronautique, du tourisme, ... Mais, le confinement de la population active - une décision absolument destructrice, digne de la pire barbarie - a placé des dizaines de millions de petites gens vivant dans le monde occidental dans un état de précarité économique terrible.

Tout cela à cause de l'ignorance abyssale des scientifiques politisés et des politiciens "scientisés". Leur ignorance repose sur la confusion terrible qui a été commise il y a déjà plusieurs dizaines d'années entre la connaissance scientifique et le marché des idéologies.

L'idéologie dans le scandale de la Covid-19 s'est déployée de la manière suivante :

  1. La Covid-19 est une maladie nouvelle (idée abstraite 1) ;
  2. Il n'existe pas de médicament pour une maladie nouvelle (idée abstraite 2) ;
  3. il faut donc appliquer une stratégie non-pharmaceutique pour résoudre la crise (idée abstraite 3)

Le problème de ces assertions c'est que :

  1. la Covid-19 n'était pas une maladie nouvelle ;
  2. il existe des médicaments contre les coronavirus et les affections de toutes sortes ;
  3. les stratégies non-pharmaceutiques demandent une mise en œuvre intelligente.

Intelligence, c'est ce qui a fait totalement défaut aux scientifiques de gouvernement et au gouvernement du scientisme. 

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