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Pandémie - Quelques réflexions géopolitiques et sociales

La pandémie du SARS-CoV-2 est toujours en cours. En fait, nous n'en savons rien. Mais, sur la base de ce que le pouvoir occidental veut que nous pensions, admettons que la pandémie soit toujours en cours.

Quelques idées sur la pandémie

Malgré les efforts du pouvoir occidental, nous savons cependant que l'épidémie est presque terminée en Europe occidentale. Il existe des foyers en Espagne et en France. Le Royaume-Uni n'est pas entièrement sorti de la nasse. Mais en Allemagne, en Italie, et dans la plupart des autres pays occidentaux, l'épidémie est finissante.

Comme l'explique sans fatigue le Pr Raoult, une épidémie démarre exponentiellement parce que les humains n'ont pas encore adapté leur système immunitaire. Puis, l'épidémie se stabilise et enfin décroît jusqu'à s'annuler, pas du tout parce qu'on a vacciné la population, mais parce que un virus n'a qu'une vie ...

Cette situation se complique dans plusieurs situations : lorsque le virus réapparaît dans une mutation pour laquelle l'adaptation initiale du système immunitaire est inefficace. L'épidémie reprend. Une autre situation peut se produire lorsque l'adaptation de la réponse immunitaire n'est pas complète et que en fait, les conditions d'environnement (température, soleil, humidité, ...) ont désactivé le virus. C'est le cas des épidémies saisonnières.

Enfin, il faut tenir compte du fait que nous ignorons l'intensité de la protection immunologique et sa durée. Plusieurs expériences semblent indiquer que intensité et durée sont souvent faibles. Protégeraient elles d'une autre épidémie, surtout si le coronavirus a évolué ?

Mais, il existe un autre cas, encore inconnu. C'est celui de la guerre virologique. Une puissance quelconque - ici, nous ne dénonçons pas la Chine ! - a pu infecter ses adversaires à l'aide d'un virus artificiel qui contient des moyens pour contourner l'adaptabilité du système immunitaire. Il est en effet possible que le coronavirus puisse lutter contre cette adaptation du système immunitaire. Et là, nous ne savons pas trop ce qui se passera.

En résumé, aujourd'hui, dans un pays comme la France, nous pouvons estimer que l'épidémie, commencée vers le 1er Mars, est en phase terminale. Nous ne devons pas être confiants, parce qu'il existe de nombreux événements qui peuvent contrarier notre tranquillité. Notamment, l'ouverture criminelle de nos frontières expose notre population à l'entrée de cas infectés récents, par exemple des infectés par de nouvelles souches du virus, pour lesquelles la souche de notre épidémie n'a pas créée de réponse immunitaire adaptée. Il est alors possible de voir une nouvelle épidémie démarrer.

Ce pourrait être le cas d'importations de cas provenant - directement ou non - de l'hémisphère sud qui est actuellement dans une situation favorable pour la prolifération de coronavirus : l'hiver. Et même en été chez nous, le nouveau coronavirus peut faire des malades parce qu'il aura été maturé par le porteur importateur traversant notre frontière.

Ceci dit, il faut noter deux faits.

Tout d'abord, une courbe épidémique se trace dans l'idéal sur une société "fermée". Il existe une population homogène et tout le monde ou presque subit l'infection. De ce fait, surtout pour les "grands" pays, la courbe des infectés quotidiens peut être la somme de plus de une "population homogène". Ce serait le cas des États-Unis dont la courbe des infectés quotidiens - qui est une courbe d'ensemble qui serait la somme de plusieurs courbes décalées dans le temps - montre une reprise de la hausse après une baisse pourtant significative.

Ensuite, l'épidémie démarre depuis quelques temps dans certains pays comme l'Inde ou l'Afrique du Sud, et notamment dans les pays de l'hémisphère Sud. Il est donc clair que, à cause des circulations mondiales, le risque de revoir une nouvelle infection en Europe occidentale est loin d'être incertain.

Ainsi, notre lecteur doit comprendre que la mondialisation - en tant qu'elle est une idéologie irrépressible - est responsable d'une grande partie de la pandémie. Or, malgré les pleurnicheries, nous voyons tous qu'il n'est absolument pas question de mettre en cause le dogme de la mondialisation. Il est possible que le pouvoir occidental imposera des règles supplémentaires de circulation. Il est certain qu'il va surtout créer de nouveaux impôts ou générer plus de dettes - c'est strictement équivalent - pour réduire le risque pandémique au profit de la classe dirigeante.


         

La réaction politique a été pareille presque partout en Occident.

Sur la base d'une coopération entre une faction de scientifiques occidentaux avec la Chine et l'OMS, la plupart des États du monde occidental ont suivi une seule politique, un peu comme s'il y avait un "gouvernement mondial".
Cette politique se fonde sur un dogme établi par la "communauté unanime des scientifiques" :
la Covid-19 est une maladie nouvelle, puisqu'elle est produite par un nouveau virus le SARS-CoV-2.

Cette politique exploite les données les plus autorisées de la "science" :
il ne peut exister aucun traitement contre la Covid-19 qui soit à base de produits pharmaceutiques, puisque Covid-19 est nouveau.

Brève explication :
en effet, la "science" a établi que, contre un virus, seul un vaccin est efficace. Or, un tel vaccin ne sera pas disponible avant plusieurs années et seulement par une coopération internationale animée par l'OMS.

Petit accommodement avec ce principe scientifique :
il existe quelques médicaments nouveaux, comme le remdesivir de la firme Gilead, qui pourraient, après des essais cliniques randomisés et à double aveugle, fournir une thérapie limitée à certains cas. Tous les membres du pouvoir occidental se sont entendus pour que de tels médicaments soient distribués à des pris très élevés de l'ordre de 5.000 USD pour traiter un patient.

Comme il n'existe pas de traitement pharmaceutique contre la Covid-19, la "science" a mis au point des interventions non pharmaceutiques - en anglais de l'Imperial College de Londres : NPIs - qui, mises en œuvre par la police, sont susceptibles de limiter le nombre :
1 -  de morts à un chiffre acceptable par la population avant une émeute ; et
2 - d'hospitalisés pour éviter une saturation des hôpitaux pour traiter les infectés.

Brève explication :
les NPIs concernent des mesures policières pour réduire les occasions d'infection par confinement de la population, interdiction des rassemblements, interdiction des déplacements, interdiction du travail, obligation de mesures hygiène, ...

La plupart de ces mesures ont été développées par un groupe d'activistes de l'Imperial College, qui a su animer des coopérations internationales de sorte que, la plupart des infectiologues qui se trouvent installés aux places du pouvoir sanitariste dans la plupart des États occidentaux qui ont appliqué ces mesures NPIs, ont été ou sont en contrat avec l'Imperial College.

De cette situation, il a été possible de faire croire au personnel politique qu'il existait vraiment une "communauté scientifique unanime" alors qu'il s'agissait d'une faction qui a patiemment tissée sa toile pour "prendre le pouvoir".

Or, il ne peut exister de "communauté scientifique", il n'existe que la "mafia". Et de fait, dès que les contestations - notamment provenant du milieu médical - ont commencé à émerger, c'est par une réaction mafieuse que la "communauté scientifique unanime" a réagi.

Mais, le pouvoir politique a confusément le sentiment de s'être fait piéger

Nous avons reconnu par plusieurs signes que les dirigeants politiques ont peut être eu l'impression de s'être fait piéger par la fameuse "communauté scientifique unanime". Par exemple, si les politiciens acceptent encore l'idée d'une "seconde vague" à laquelle la "communauté scientifique unanime" semble beaucoup tenir, ils ont plus ou moins reconnus qu'ils ne recommenceront pas un confinement généralisé. C'est le cas pour Macron et Johnson. Conte en Italie semble sur la même politique et l'Espagnol aussi.

Plusieurs membres des comités "scientifiques" dont les gouvernements se sont assurés les services dès le début de la pandémie commencent aussi à préparer un demi-tour relativement à la position "unanime". Certains ont déjà démarrées les opérations à la "je-n'y-ai-jamais-cru" ....

On ne parle presque plus de Ferguson et de ses prédictions apocalyptiques qui ont précipité les décisions politiques. Son équipe publie toujours des rapports - des COVID-19 Reports - strictement sans aucun intérêt général, mais à un rythme qui se ralentit nettement. Il est encore tôt pour dresser un bilan, mais on sait déjà que le débat sur les statistiques épidémiques risque d'être très animé parce que beaucoup de gouvernants vont jouer leur "tête".

Ainsi, on sait qu'ils auront majoritairement besoin de "jouer" avec les chiffres et de prendre comme politique de ne pas en changer pour donner l'impression qu'ils ont "tout bon" ... C'est ridicule, mais la ré-élection d'un politicien commence par çà.

Ainsi, interrogé par deux journalistes en demie adoration devant le Jupiter du Faubourg Saint-Honoré sur le traitement qu'il prendrait s'il était atteint du Covid-19, il a répondu qu'il n'en prendrait pas, "parce que la science a déterminé qu'il n'y en avait pas". Une belle effronterie alors qu'on sait que l'hydroxychloroquine et d'autres produits pharmaceutiques fonctionnent très bien. Mais le dogme est qu'il n'existe aucun traitement pharmaceutique. Admettre le contraire, c'est avouer l'erreur du 13 mars 2020. Quand "il" a décidé d'interner les français, trompé par la "communauté scientifique unanime" ...

Les statistiques de la Covid-19 : vers une bagarre mortelle ?

En réalité, tout le problème sera de reconstituer - notamment en France, mais le même problème se présente au Royaume-Uni, en Italie, etc. - le cumul des morts infectés par le SARS-Cov-2 et décédés à cause du coronavirus, des morts décédés "pendant l'épidémie de SARS-Cov-2".

Si on démontre que SARS-Cov-2 a tué presque pas plus qu'une des grippes antérieures, le confinement et les autres mesures NPIs seront jugées superfétatoires.

D'ores et déjà, les "modélisateurs" à la Ferguson ont déjà répandu dans les média que, grâce aux mesures NPIs, les gouvernements avaient sauvées 100.000, 200.000 vies humaines qui seraient mortes sinon. Le fait que le nombre de décès est relativement peu différent des chiffres des années passées serait ainsi expliqué par un raisonnement par l'absurde ; si on n'avait pas confiné, c'est là qu'on aurait vu la différence. Comme "on" a confiné, on voit moins bien la différence.

Malheureusement, on sait mesurer deux populations qui ont subi des dommages létaux à cause, non pas du SARS-CoV-2, mais à cause du confinement et autres mesures NPIs. La première population est celle des malades chroniques qui ont été chassés de l'hôpital par la mobilisation contre la Covid-19 et qui n'ont pas pu ou pas voulu se présenter à l'hôpital pour leurs traitements. A ces gens s'ajoutent ceux qui n'ont pas voulu se soigner - les urgences étaient complètement vides !

La seconde population frappée est celle des vieillards qui, à cause du confinement, ont été enfermé là où ils se trouvaient et sont morts de dépression dans la solitude, abandonnés. A ces gens s'ajoutent tous ceux qui se sont retrouvés confinés, à domicile, ou dans des maisons de retraite, et qui à cause de leur confinement ont été infectés par des cohabitants eux-mêmes infectés, par exemple parce qu'ils étaient asymptomatiques avant le début du confinement !

Lorsqu'on se donnera vraiment la peine de retrouver les chiffres, il est probable que la mortalité directe a été très faible - ou du moins très comparable à une forte grippe.

Mais, une fois encore, il faut admettre que la pandémie pourrait - bien que les autorités en soient convaincues - ne pas être terminée. Le bilan est encore à attendre.

Le mensonge généralisé marche très bien


L'histoire du début de la pandémie a révélée une fois de plus que pour qu'un mensonge soit pris pour la vérité, il faut deux conditions : le répéter souvent et le répéter partout. C'est la nature même du mensonge généralisé.

On a menti sur presque tout, partout et tout le temps.

Ainsi, le vaccin est une promesse du futur, sans aucune certitude sauf à celle de l'enrichissement de l'industrie pharmaceutique qui se rue sur les "dons" et subventions et fixent déjà des prix de vaccins absolument scandaleux. En effet, malgré les annonces de presse, le principe "scientifique" selon lequel à tout virus correspond son vaccin est faux. Ebola n'a toujours pas de vaccin, même s'il existe des produits frelatés qui s'intitulent ainsi. VIH n'a pas plus de vaccin.

On a menti partout et tout le temps sur le remdesivir, sur l'hydroxychloroquine, sur la ventilation à l'oxygène, sur les causes de décès des gens en réanimation, sur les plasmas convalescents, ...

On a menti sur le confinement, sur les protections : masques, gants, combinaisons. On a menti sur les voies de transmission du coronavirus : la salive, les mains, les postillons, les aérosols, ... On a menti sur les durées d'infectibilité, sur les quarantaines, ...

Et on a menti d'un mensonge généralisé parce que, comme le décrit le Pr Christian Perronne, 'Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise?' (Albin Michel). Le mensonge est la conséquence de l'erreur. Il est la condition de survie à l'erreur.

Si il n'avait été fait d'erreur que sur l'hydroxychloroquine, ou seulement sur le confinement, il n'y avait nul besoin du mensonge. Aujourd'hui, les pouvoirs politique et sanitariste se contraignent l'un l'autre à se soutenir. Le premier qui défaille assure la chute de l'autre. Et ils se tiennent dans les mensonges. Ils ne peuvent plus nier quoi que ce soit au risque de faire s'effondrer le "château de cartes" de la société occidentale. Fonder la science sur la démocratie est l'erreur du lyssenkisme. Fonder la démocratie sur la science est la faute de la Troisième République.

On est toujours rattrapé par son passé.

Le mensonge de la saturation des "urgences"


Nous avons été confinés avec de nombreuses prolongations au prétexte qu'il fallait protéger les urgences de la saturation.

C'était un mensonge évident. Les gens qui venaient aux urgences avaient reçu instruction d'attendre chez eux d'être en détresse respiratoire avant d'appeler le centre répartiteur des patients, le Quinze. De ce fait, on sait que de nombreux malades sont morts chez eux. Et il est possible qu'ils n'aient pas été comptabilisés comme malades de la Covid-19. Nous verrons le moment venu.

En fait, l’État régulait lui-même l'embouteillage des urgences. Il ne laissait charger par les ambulances que les malades qui lui convenaient : pas trop vieux, pas trop malades. Par plusieurs témoignages dans la presse, on sait ainsi que de nombreux vieillards ont été reconduits à leur EHPAD lorsque la direction de l'EHPAD a voulu les envoyer en réanimation.

Manipulant lui-même les chiffres des lits de réanimation "disponibles", l’État s'arrogeait le droit de prolonger à son arbitraire le confinement. Et il a usé et abusé de cet arbitraire.

Philippe de Villiers dans son dernier livre 'Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde' (Fayard) estime que le principe de précaution et le traumatisme de l'affaire du sang contaminé ont paralysé le pouvoir. Ce n'est pas faux.

Mais, le pouvoir me semble loin d'être effrayé par le sort de Laurent Fabius, devenu Président du Conseil Constitutionnel, pas du tout traumatisé quant à lui par quoi que ce soit. Quant au principe de précaution, il peut effrayer un fonctionnaire subalterne. Bien entouré, un politicien ne le craint pas. Moins que l'opinion publique, esclave des media de l'entente politicienne.

Mais, c'est vrai. Beaucoup de gens demanderont des comptes. Et pas au "nouveau Monde". Le macronisme a commis une erreur. Il a lié son sort à un gang maffieux de scientifiques de la "santé", dopés aux cadeaux des laboratoires pharmaceutiques et aux idéologies les plus fausses. Le macronisme voudra t'il corriger son erreur ?

On sait que certains États sont en train de rechercher les contrats publics et non passés entre certains "scientifiques" et le Parti Communiste chinois. Plusieurs affaires ont été révélées aux États-Unis. Au moins une en France a atteint, sinon la lumière, du moins la pénombre de nos media franchouillards.

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Attention : il y a peut être un autre problème ...


En effet, le Pr Montagnier a levé un problème qui est venu peu après qu'on se soit souvenu, qu'à Wuhan, un laboratoire de virologie de classe P4, susceptible de traiter les agents infectieux, virus ou bactéries, les plus dangereux a été construit par la France qui a envoyé son Premier Ministre, Cazeneuve, pour l'inaugurer. Persuadé qu'il allait installer une équipe de virologues français dans les lieux, notre Prince s'est vu raccompagner à l'aérogare de Wuhan avec toute sa fine équipe et ils ont été prié de revenir ... dans un lao gai d'époque ... On ne les a jamais revus et le laboratoire s'est retrouvé aux mains du Parti Communiste Chinois qui l'a confié à l'armée rouge. Bien.

A Wuhan, il y a deux laboratoires de virologie : le P4 qui est à 800 mètres du fameux marché aux poissons de Wuhan et l'autre, un P3, qui est dans le même immeuble ...

La fameuse "communauté scientifique unanime" s'est - probablement mobilisée par les Chinois, peut être par l'intermédiaire de l'OMS - écriée que le coronavirus était d'origine animale et qu'une chauve-souris infectée dans une grotte du Yunan avait mordu à 1000 kms de là un pangolin qui était en vente sur le marché aux poisson de Wuhan. Le pangolin aurait mordu un pauvre homme du marché aux poissons ...

Montagnier sur un travail du biomathématicien Perez, estime qu'il est probable que le coronavirus SARS-CoV-2 est une chimère qui s'est échappée du laboratoire P4 de Wuhan. La "communauté scientifique unanime" a alors beaucoup rit. Mais trop fort pour être honnête.

Nous ignorons complètement si l'hypothèse de Montagnier est vraie. Mais, il est possible que Macron - et Trump - et les gens mis au courant par les services secrets - d'intelligence comme on dit en anglais - sachent la vérité.

S'ils savent qu'une chimère aurait été produite au P4 ou au P3 de Wuhan - il y a juste l'embarras du choix - il est possible de comprendre pourquoi ils étaient "verts de trouille" au début de la pandémie et, qu'aujourd'hui encore, ils soient dans la crainte d'une suite, pour autant que SARS-CoV-2 soit vraiment en décroissance.

Les Américains ont semblé vouloir punir la Chine. Mais, ils n'ont pas repris l'hypothèse de Montagnier. Ils ont juste fait savoir qu'en 2018, des enquêteurs américains avaient visité le P3 de Wuhan et qu'ils y avaient relevé des failles de sécurité inquiétantes (article du Washington Post : State Department cables warned of safety issues at Wuhan lab studying bat coronaviruses). Les Américains ont préféré orienter leurs griefs sur l'idée que la Chine aurait laissé filer la pandémie. Ce qui n'est pas confirmé par les faits. Mais, nous sommes loin de tout savoir.

Mais, il se pourrait que les Américains aient un vrai problème qui leur interdit d'accuser la Chine sur la base de l'hypothèse de Montagnier. Mettons de côté la possibilité que les Américains savent qu'elle est fausse.

En 2006, l'université de Caroline du Nord a déposé un brevet de presque 100 Pages ( US2006240530 (A1) - Methods and compositions for infectious cDNA of SARS coronavirus) dans lequel il est expliqué comment et pour quoi modifier le génome d'un coronavirus infectant une chauve-souris du genre de celles travaillées à Wuhan par la virologue Z-L Shi. En particulier, les scientifiques américains y décrivent très bien les peptides qu'il faut substituer dans la S-glycoprotéine "naturelle" qui appartient au "ruban d'ARN" du virion pour améliorer son accrochage sur le récepteur ACE2 des cellules respiratoires humaines.

En 2015, une équipe sino-américaine comprenant le leader de l'équipe d'inventeurs du brevet précité et la virologue chinoise Z-L Shi, reprend les données du brevet de 2006 - sans le citer - et explique la même chose dans un article de 2015, détecté notamment par Valère Lounas sur le site de FranceSoir (COVID19 : un virus synthétique hautement pathogène pour l'être humain créé par l'institut de virologie de Wuhan et les USA. A savoir que une chimère d'un coronavirus de chauve-souris est capable d'infecter très facilement l'appareil respiratoire humain.

Au courant de l'année 2018, l'administration américaine s'est aperçue - probablement à l'occasion de vérifications fiscales - qu'un certain nombre de scientifiques américains étaient en réalité salariés par le Parti communiste chinois à l'occasion de contrats de coopération qui, indéniablement transféraient à la Chine un grand nombre d'informations technologiques et scientifiques ainsi que de nombreuses compétences avancées. Plusieurs procès sont en cours et déjà, plusieurs agents chinois ont été reconduits à la frontière.

Par ailleurs, à l'occasion du nouveau mandat de son Directeur Général, l'OMS a échappé à l'influence américaine et le nouveau Directeur Général est réputé être un homme-lige de la Chine. Il existerait donc en réalité une entente entre l'OMS, les scientifiques de la "communauté scientifique unanime" et la Chine pour gérer la pandémie et en tirer tous les avantages possibles.

Il est possible que les Américains savent que l'hypothèse de Montagnier est vraie. Qu'il y a bien eu un accident virologique majeur à Wuhan. Mais qu'il s'agirait d'une collaboration sino-américaine directe et à l'insu du plein gré de l’État fédéral !

Les Américains sont "verrouillés" et quasiment hors jeu. Et nous autres regarderions la situation nous échapper sans espoir.

Tout ceci est - le lecteur est prié de bien le noter - hautement hypothétique. Mais cette hypothèse est fondée sur des faits qui la rendent possible. Jusqu'à preuve du contraire.

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Note de lecture

Notre article, comme plusieurs déjà publiés, ne suscite souvent que le mépris des gens et des idéologies qu'il entend dénoncer. Et souvent, les gens d'en haut et leurs salariés imaginent exprimer ce mépris en prétendant que cette "prose" ressort des théories du complot.

De braves gens les croient, parce que les "braves gens" croient les gens d'en-haut. Question d'éducation certainement.

Mais, nous autres, les révoltés, les contestataires, nous savons ce qu'est un complot. Un complot n'est jamais l’œuvre de celui qui a le pouvoir, jamais le fait des gens d'en-haut. C'est l'arme ultime de celui qui, n'en disposant pas, veut renverser le pouvoir. Imaginer que le contestataire confond le comploteur avec le puissant, c'est démontrer un trait d'idiotie.

Et peut-être qu'un jour un révolté, insulté de complotisme, se souviendra de cette vieille stratégie d'accès au pouvoir ? Pour nous, le temps est passé ...




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