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NPIs, vaccins et interdiction de la CQ

Une "triade" d'assertions résume l'affaire du SARS-CoV-2

Il existe une sorte d'homogénéité entre les assertions suivantes :
  1. L'épidémie de SARS - CoV - 2 n'admet que des interventions non pharmaceutiques pour réduire le nombre de morts et protéger le système hospitalier d'une sur-saturation.
  2. Si l'engagement financier des États est suffisant, la communauté scientifique trouvera à moins de dix-huit mois un vaccin protégeant la population de la Covid-19.
  3. L'utilisation d'un médicament comme la chloroquine ou l'hydroxychloroquine contre le SARS - CoV-2 doit être strictement interdite par tout moyen à la disposition des autorités d’État.
On comprend que l'assertion 3 découle directement de l'assertion 1 et que l'assertion 2 exige que l'assertion 1 impose des interventions non pharmaceutiques pendant plus de dix-huit mois puisque le vaccin sera le seul moyen de protéger les populations.
De ce point de vue, le décret du Premier Ministre, daté du 25 mars 2020, qui "réserve" l'hydroxychloroquine à certaines structures hospitalières et rend plus difficile sa prescription, notamment par la médecine libérale, est le signe très clair que l'exécutif a parfaitement intégré et adhéré à la triade mortelle de l'affaire du SARS-CoV-2. L'exécutif macronien est donc entièrement responsable de la catastophe du SARS-CoV-2.

Le problème des médicaments "nouveaux"

Il existe une faille cependant dans ce "modèle" de l'affaire : les entreprises de pharmacie ont quand même tenté d'imposer de "nouveaux" médicaments comme le remsédévir, de sorte que l'assertion 1 a été mise en défaut sur le plan des "principes" par ceux-là même qui pouvaient bénéficier des financements captés grâce à l'assertion 2. En réalité, la situation est plus complexe. L'affaire du remsédévir est le "solde" d'une vieille industrie en passe de disparaître. Le "remsédévir" est une tentative désespérée de l'un des plus grands laboratoires mondiaux de "rentrer" dans sses mises financières. Mais, l'industrie pharmaceutique n'a peut être plus les rênes ...

Le milliardaire qui croit contrôler la catastrophe

En réalité, l'industrie pharmaceutique s'est fait "doublée" par un outsider : le milliardaire Gates qui, à l'aide d'une Fondation "philanthropique", s'est placé au centre de contrôle des futurs vaccins. Gates se retrouve au financement de la plupart des initiatives qui appliquent ou mettent en œuvre la triade d'assertions définies plus haut. Il finance l'Imperial College de Londres qui a imposé l'assertion 1. Il est le contributeur principal de l'OMS qui contrôle largement les vaccins du futur, notamment par ses Recommandations. Et il tient le financement des universités et des instituts, chinois notamment, qui travaillent aux futurs vaccins. L'assertion 2 tient essentiellement à son action.
L'assertion 3 est appliquée et mise en œuvre par une multitude d'experts qui, de près ou de loin, sont ou bien dans la sphère d'influence de l'OMS ou de la Chine, ou bien dans celle des financements de Gates. Pour le reste, les "experts" à la solde des grands laboratoires cherchant à se récupérer" financièrement à l'aide de la crise ont hurlé "au loup". C'est la raison essentielle des "ennuis" rencontrés par Didier Raoult et son équipe marseillaise.
Et, nous savons aujourd’hui que l'assertion 1 est fausse, que l'assertion 2 est une vulgaire manipulation d'opinion et que l'assertion 3 est un quasi - crime de santé publique.

Les NPIs ont provoqué une catastrophe économique et sociale sans précédent

Il existe un autre problème. Les NPIs sont, comme chacun sait, les interventions des autorités d’État qui ne disposent pas de traitement médicamenteux (pharmaceutique) contre une infection. Ces interventions politiques sont résumées dans la politique de confinement imposé par le macronisme aux français.
Cette politique a induit la létalité en nombre de décès par cas infecté détectés le plus élevé au monde, ou de peu s'en faut. Il a aussi induit un marasme économique et social absolument sans précédent dont nous n'avons encore rien vu.
Alors que la médecine basée sur l'évidence des preuves est tombée en faillite, le gouvernement conseillé par la "communauté scientifique autorisée" conduit le pays à la misère et au déclassement.
A cause de "maudits joueurs de flûte".

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