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Covid-19 : maladie épidémique ou épidémie de scandales

Coronavirus, SARS-Cov-2, Covid-19 ... Tout aura été une longue suite de scandales. Et la suite semble s'accélérer encore. Essayons de faire un peu de lumière sur ce qui se passe en ce moment.

  1. La source scandaleuse de l'épidémie en Chine :

    Une chose est certaine : la source de l'épidémie est - une fois de plus - en Chine. Très probablement à Wuhan. Le fait que, initié vers le 15 décembre 2029, l'origine certaine du virus soit encore inconnue, n'est pas en soi scandaleux. La science a son rythme qui n'est pas celui de l'Histoire immédiate. Mais déjà le scandale rôde dans la narration des origines de SARS-Cov-2 : passage de l'espèce des Chauve-Souris à celle de l'Homme, par un intermédiaire animal (Lire Ping Liu, "Are pangolins the intermediate host of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2)?", publié le 14 mai 2020 ; https://www.scimex.org/newsfeed/pangolins-ruled-out-as-intermediate-host-of-sars-cov-2), par un accident dans un Institut de virologie (https://www.americanthinker.com/articles/2020/03/the_wuhan_virus_escaped_from_a_chinese_lab.html), par une manipulation génétique (Lire JC Perez, " WUHAN COVID-19 SYNTHETIC ORIGINS AND EVOLUTION" (2020)), peut-être parfaitement légitime, nous n'avons aucune certitude. Mais l'idée que l'épidémie puisse ne pas avoir été une fatalité naturelle est en elle même la source scandaleuse.

  2. Le scandale de l'attitude occidentale à l'égard de la Chine :

    Lorsque l'épidémie s'est développée en Chine, il y a eu beaucoup de critiques de la part des occidentaux sur deux sujets : le temps trop long de réaction des autorités chinoises, malgré les alertes de plusieurs médecins chinois - médiatiquement promus en Occident au rang "glorieux" de lanceurs d'alerte .... - puis la solution policière de la quarantaine et du confinement, solution attribuée au tropisme dictatorial des institutions chinoises. Pendant, ce temps, les États occidentaux ne prenaient strictement aucune mesure, refusant de fermer leurs frontières au prétexte que "le virus ne connaît pas les frontières" et le slogan que "cela n'est pas dans nos valeurs" (http://video.lefigaro.fr/figaro/video/coronavirus-il-n-y-a-pas-lieu-de-fermer-les-frontieres-entre-nos-pays-declare-olivier-veran-en-italie/6135851546001/).

    Complètement inconscients, c'est l'époque où les autorités sanitaro-politistes françaises ont le culot d'envoyer en Chine des masques de protection faciale dont la France était complètement démunie (https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/le-ministere-et-son-reseau/actualites-du-ministere/informations-coronavirus-covid-19/coronavirus-declarations-et-communiques/article/envoi-de-fret-medical-en-solidarite-avec-la-chine-a-destination-des-structures). Un peu comme si l'épidémie ne pouvait pas venir en France.

  3. Le développement en Europe de l'épidémie

    Les média français ont regardé avec amusement l'effarement des Italiens, puis des Espagnols, qui reçurent les premiers l'épidémie en provenance de Chine, essentiellement par le biais d'hommes d'affaire qui revenaient de Chine. Lorsque les Italiens ont commencé à confiner, de nombreux articles de media français ont critiqué la méthode. Leurs critiques sont devenues maximales lorsque l'Italie a commencé à fermer ses frontières. La France et ses "autorités sanitaro-politistes" n'ont encore rien fait. C'est à cette époque d'ailleurs, que le ministre de la Santé a jugé bon de ne pas se rendre avec l'OMS à une visite d'étude de l'épidémie en Chine, laissant l'Allemagne, et les autres pays européens examiner les solutions chinoises et préférant démissionner pour devenir candidat à la Mairie de Paris.

    Il faut noter que la situation en Italie a été dans certaines régions complètement effrayante : notamment pour les plus malades, l'hôpital a été un simple couloir de la mort, si le malheureux n'était pas diagnostiqué comme susceptible de s'en tirer. De même, le confinement de la population a été largement abusif. Il semble que les Italiens et dans une moindre mesure, les Espagnols auront eux aussi des comptes à demander de leurs autorités.

  4. Le scandale de l'impréparation française

    C'est alors que l'épidémie a commencé sur le territoire français. D'abord avec des touristes venant de Chine, puis des hommes d'affaire revenant d'Italie ou de Chine. Il y eut ensuite les rapatriés de Chine notamment qui semblent avoir produit un premier foyer d'infection dans l'Oise. Puis il y eut les rapatriés des bateaux de croisière qui se sont succédé, puis les rapatriés généralement du tourisme et provenant du monde entier. Non seulement la France n'avait aucune intention de fermer ses frontières, mais en plus elle tentait de faire venir le plus de personnes potentiellement infectées. Nos "autorités sanitaro-politistes" instituèrent une quarantaine ridicule de 14 jours, parce que les bons auteurs prétendaient que la maladie se déclarait au plus tard 14 jours après l'infection. Entre l'ignorance crasse concernant la statistique en général et la moyenne en particulier, et la soumission aux idées reçues, le scandale de l'infection initiale de la France se développe.

    C'est le moment que choisit l'OMS pour dire à tous ses membres dont la France : "Testez ! Testez ! Testez !". C'est le moment où nos "autorités sanitaro-politistes" découvrent que le coronavirus se propage essentiellement par voie "aérienne". Problème : la France ne dispose d'aucun masque facial, pas de gants, pas de blouses et encore moins de combinaisons antibactériennes. Et, bien entendu strictement aucun test. Masques, gants, blouses, combinaisons, tests, tous vont être qualifiés de parfaitement inutiles. Puis, ils ne seront utiles que pour le personnel soignant. C'est peut être le plus grand scandale : celui d'un mensonge d’État proféré à longueur de média par des journalistes esclaves du pouvoir "sanitaro-politiste".

  5. Le scandale de la thèse de l'absence de traitement contre la Covid-19

    Quand on analyse les discours sanitaro-politistes aussi bien ceux des fonctionnaires de la Santé un peu partout en Occident que ceux des média occidentaux, dès le début de l'épidémie, il y a une thèse qu'il est interdit de contester : le coronavirus est un nouveau virus. Il n'existe aucun médicament pour traiter les personnes infectées ou pour protéger les personnes encore saines.

    Cette thèse est bien entendu complètement fausse. Mais elle va être assénée en permanence par le lobby sanitaro-politiste. Si un médicament pourrait soigner le coronavirus, il devra subir des essais cliniques randomisés avec groupe neutre.

  6. L'affaire de l'hydroxychlroroquine

    C'est à ce moment là qu'un centre hospitalo-universitaire, l'IUHM de Marseille, fort d'expériences antérieures sur le SARS-Cov-1 et par des expériences récentes menées en Chine sur le SARS-Cov-2 découvre qu'un produit devenu générique, l'hydroxychloroquine (HCQ) a de bons résultats pour réduire la charge virale, puis pour moduler la réponse immunitaire lors de l'infection. Il mène quelques essais de taille assez réduite, et sans groupe neutre, et sans randomisation des patients pour des raisons évidentes de déontologie médicale, publie ses résultats et commence le traitement. L'IUHM peut présenter des résultats meilleurs même que ceux de l'Allemagne.

    Le scandale commence avec l'opposition névrotique à la solution marseillaise, opposition exercée par tout le lobby "sanitaro-politiste", d'abord en France, puis aux Etats-Unis, sous l'instigation clandestine du laboratoire Gilead. Les critiques médiatiques vont s'accumuler sur un formidable personnage, le Pr Didier Raoult, qui va porter les travaux de l'IUHM qu'il dirige dans une tempête sans précédent. Raoult et l'IUHM sont les cibles de bêtises et de fraudes scientifiques qui vont se révéler notamment avec le retrait de deux études publiées dans une revue médicale britannique, très connue, The Lancet. Ces deux études prétendaient démontrer que l'HCQ était un poison dangereux pour les patients de la Covid-19. Elles étaient fausses et entièrement fabriquées pour à la fois laisser la place à un futur médicament très coûteux, le Remsedevir de la firme US Gilead et pour répondre au diktat de la thèse qui interdit qu'il existe un traitement contre la Covid-19 !

  7. Le scandale des modélisations épidémiques

    Depuis plusieurs années, un informaticien britannique, Neil Ferguson, étudie la dynamique des épidémies, particulièrement basée sur les épidémies précédentes à coronavirus. Il travaille à l'Imperial College et sa modélisation se fonde sur un programme qu'il a développé il y a déjà une dizaine d'années - programme qui va se révéler complètement faux et bogué (https://lockdownsceptics.org/code-review-of-fergusons-model/, https://reseauinternational.net/un-confinement-douloureux-justifie-par-des-chiffres-faux/, https://timesofindia.indiatimes.com/blogs/seeing-the-invisible/a-critique-of-neil-fergusons-the-imperial-college-pandemic-model/).

    Il a publié de nombreux articles et rapports (https://www.imperial.ac.uk/mrc-global-infectious-disease-analysis/covid-19/covid-19-reports/) dans lesquels il tient compte du fait que les coronavirus semblent se renouveler presque annuellement, sans être jamais tout à fait les mêmes. Probablement inspiré par des discussions avec des collègues virologues, il en déduit la thèse - complètement fausse - de l'absence de traitement pharmaceutique dans les épidémies à coronavirus. Il décide donc qu'il faut trouver des méthodes d'interventions sociales en l'absence de médicament qu'il appelle des NPIs - Non Pharmaceutical Interventions (Lire notamment "Estimating the number of infections and the impact of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in 11 European countries, Ferguson (2020). En clair, le confinement social de la population. L'arrêt de toute activité économique productive. Le confinement pour attendre que les malades soient assez atteints pour être chargés dans des respirateurs artificiels dans des hopitaux en limite de saturation et y meurent. Et ce jusqu'à ce qu'un vaccin soit trouvé et appliqué à toute la population. Une apocalypse sanitaro-politiste !

    L'homme est introduit à l'OMS, financièrement dominée par la Fondation Gates, en Chine, et partout. En plus de dix ans, il a "infecté" l'intelligence très lente des élites sanitaro-politistes et profité de l'ignorance de la population qui croyait que les médecins étaient chargés de les guérir. Ainsi, l'expert central de l'INSERM qui a conseillé le gouvernement français a travaillé de 2008 à 2013 dans l'équipe de Ferguson, avec qui il a cosigné plusieurs études. Il a imposé les idées ahurissantes de Ferguson, qui a aussi bénéficié de l'appui de la Fondation des époux Gates ( 80 millions de dollars rien qu'en janvier 2020 pour l'Imperial College : https://reseauinternational.net/un-confinement-douloureux-justifie-par-des-chiffres-faux/) De cette Fondation qui est le premier investisseur de l'OMS et qui promeut un vaccin mondial contre le coronavirus. Un vaccin qui n'existe pas et qui n'existera jamais. Un scandale absolu.

    Mais très bien orchestré. Le 13 mars 2020, Ferguson publie une étude qu'il a déjà vendue au gouvernement français. Macron est averti par l'INSERM et par Ferguson : il n'a rien pour défendre la population, puisqu'il n'existe pas de médicament - d'où l'idée que l'IUHM et Raoult sont des charlatans incompétents alors qu'ils ont raison. Ferguson et ses complices de l'Inserm sont clairs : si Macron ne fait rien, il aura 800.000 morts en juillet et plusieurs millions en janvier 2021. Une seule solution : confiner totalement et autoritairement l'ensemble de la population et attendre le "vaccin de Bill Gates".

  8. Le scandale des media qui ont systématiquement désinformés dans le sens des mouvances "sanitaro-politistes"

    Bill Gates a déjà largement arrosé d'argent la presse : Le Monde, Le Figaro, l'Express, tous ont reçu depuis plusieurs années ses subsides (https://www.mediapart.fr/journal/international/081019/la-fondation-gates-donne-19-million-d-euros-au-monde?onglet=full, https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/coronavirus-la-fondation-gates-en-cinq-questions-1196377). Le Monde Afrique lui appartient (https://www.lemonde.fr/partenaire-fondation-gates/). Il contrôle les réseaux sociaux, souvent indirectement par Google ou par Facebook. La presse aux ordres va vendre la solution de Ferguson et cracher sans relâche sur Raoult et l'HCQ. En France, Le Monde et Le Figaro (https://sante.lefigaro.fr/article/mortalite-accrue-avec-la-choloroquine/) vont montrer leur servilité pendant toute la durée de la crise. Et elle dure encore.

    La base de la stratégie médiatique consiste à :

    • ne laisser de place qu'à la solution de Ferguson combinée avec la vaccination obligatoire à venir,
    • éliminer par la calomnie toute solution alternative ou contestataire.
    Notamment, les journalistes de la presse qualifient toute contestation des thèses de Ferguson ou de son mentor Gates de "théories du complot" et ils estiment que cela suffit à éteindre toute critique (https://www.liberation.fr/checknews/2020/05/20/covid-19-bill-gates-au-coeur-des-theories-du-complot_1788822, , https://www.lefigaro.fr/actualite-france/l-hysterie-complotiste-s-accelere-autour-du-coronavirus-20200306)
  9. Le scandale socio-économique du confinement sanitaro-politiste, au moins en France

    Il a de multiples facettes. Quand il s'agira de faire toute la lumière sur ce scandale, qui touche principalement l'Occident, et pas la Chine, très peu l'Afrique et l'Amérique latine et encore moins le reste de l'Asie, le travail sera immense. On se borne ici à trois faits absolument scandaleux :

    1. Le scandale de l'isolement des personnes âgées

      Ce scandale comporte deux volets. Il s'agit d'abord des personnes âgées isolées chez elles et privées de la visite de leur proches à cause du confinement. Il s'agit ensuite des personnes placées dans des institutions médicalisées comme les EHPAD où elles sont mortes du Covid-19 ou d'isolement, séparées des leurs et dans des conditions qui leur interdisaient le moindre soin. En effet, les témoignages des soignants à leur service sont clairs, ces personnes lorsqu'elles étaient atteintes d'un syndrome respiratoire n'étaient pas éligibles à la respiration artificielle. Elles furent euthanasiées au Rivotril (https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/soins-palliatifs-et-covid-19-polemique-autour-de-la-dispensation-du-rivotril-en-ville-les) sur décret de l’État qui a fait interdire de nommer ainsi cette pratique. Comme pour se protéger par avance du mot. Combien de personnes âgées sont mortes d'isolement sans même avoir contracté le virus ?

    2. Le scandale du meurtre des professions indépendantes, des artisans et TPE

      Le confinement décidé par Macron va probablement entraîner la faillite de ces entreprises et la misère pour des années pour leurs membres. On voit combien la question de la légitimité du confinement social imposé par Ferguson est dramatique. Le problème de ces TPE réside en ce qu'elles n'ont presque pas de fonds propres, aucun accès au crédit, même garanti par l’État en faillite. Sans clients, elles sont incapable de durer plus d'une semaine. En régime normal, un défaut de paiement d'un seul client suffit à les mettre dans le rouge. Plusieurs mois de confinement ne peut que les conduire à la disparition.

    3. Le scandale du traitement médical de la Covid-19

      La solution du confinement "à la Ferguson" était tellement "scientifique" ( un modèle épidémiologique", des ordinateurs, des graphiques avec des tableaux compliqués, ....) que Macron et ses affidés s'y sont laissés prendre. Ils avaient deux objectifs qui les a aveuglé de tout le reste. Macron a là oublié son fameux "et en même temps" qui aurait pourtant dû servir. Ces deux objectifs étaient :

      • ne pas atteindre un nombre de morts si élevé que l'opinion publique se révolte ;
      • ne pas atteindre un nombre d'infectés tel que les hôpitaux soient saturés.
      On a considéré que si les deux objectifs étaient atteints, l'épidémie serait déclarée sous contrôle. Elle l'a été ! (https://www.lefigaro.fr/flash-actu/l-epidemie-de-covid-19-est-controlee-en-france-assure-le-president-du-conseil-scientifique-20200605) Le problème est que la létalité du SARS-Cov-2 a probablement été surestimée, tout comme ses suites ont été sous-estimées, et que le système de santé français est depuis des années dans un état de quasi faillite. On a déjà souligné le défaut d'équipements de protection sanitaire. Mais, alors que la Covid-19 est, dans ses formes graves, un syndrome respiratoire aigu, il n'y avait ni lit de réanimation, ni respirateurs artificiels. Macron s'est livré à des gonflements de biceps et un équipementier automobile a juré sortir dix mille respirateurs. Il en a produit 1.500, inutilisables ! On s'est alors livré à un trafic d'agonisants entre hôpitaux en zone tendue et zone libre. Même avec l'Allemagne ! On a purement et simplement oublié le secteur hospitalier privé et les médecins du secteur privé, les généralistes notamment. De sorte qu'on sait déjà que plus de dix mille morts de la Covid-19 ne seraient toujours pas comptabilisés. Et que, terrorisés par la faillite de la santé d’État, la plupart des grands malades chroniques - cancéreux, AVC, cardiaques - ont renoncé à suivre leurs traitements ! On pourra multiplier les scandales ici.
  10. Qui poursuivra les responsables de cette catastrophe sans exemple dans l'Histoire de l'Occident ? Qui en châtiera les coupables ? Qui révolutionnera le système médical en le libérant de l'oppression sanitaro-politiste ? Nul ne le sait. A priori, pas le Pr Didier Raoul. Il n'est pas intéressé. Quoique ?

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